Les faits divers et la 207
Modérateur: Team Féline 207
laurent-31 a écrit:http://www.ladepeche.fr/article/2012/01/29/1272225-six-blesses-dans-un-carambolage-sur-l-a62.html
je viens de le voir se matin aussi

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matthieu_31 - Lionceau
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Scooter contre voiture : 2 blessés dont un grave
Montceau (Saône et Loire)
30 janvier 2012 - Le Journal de Saône et Loire
Ce lundi, vers 11 h 30, un scooter a percuté une voiture rue de Saint-Berain, dans le quartier du Bois-du-Verne à Montceau. Il semblerait que le pilote du deux roues, une jeune fille de 17 ans, n'ait pas marqué le stop de la rue de Rouen, d'où elle venait, à quelques centaines de mètres de son domicile. Elle a alors percuté une voiture, une Peugeot 207, conduite par une jeune femme, arrivant de Saint-Berain-sous-Sanvignes, dans la rue du même nom.
Le choc a été très violent, le scooter étant projeté à une dizaine de mètres du lieu de l'impact. Sa pilote a aussi été projetée assez loin, de l'autre côté de la rue, après avoir heurté le pare-brise de la 207. Se plaignant de douleurs violentes au dos et au bassin, elle a été conduite à l'hôpital Jean-Bouveri de Montceau par les pompiers, au nombre d'une dizaine, dirigés par l'adjudant-chef Michel Meunier. La conductrice de la voiture, extrêmement choquée, a également été menée à l'hôpital.
C'est à cet endroit que les policiers du commissariat de Montceau, chargés de l'enquête, feront les prélèvements d'usage (alcoolémie et stupéfiants) pour tous les accidents corporels.
Montceau (Saône et Loire)
30 janvier 2012 - Le Journal de Saône et Loire



Ce lundi, vers 11 h 30, un scooter a percuté une voiture rue de Saint-Berain, dans le quartier du Bois-du-Verne à Montceau. Il semblerait que le pilote du deux roues, une jeune fille de 17 ans, n'ait pas marqué le stop de la rue de Rouen, d'où elle venait, à quelques centaines de mètres de son domicile. Elle a alors percuté une voiture, une Peugeot 207, conduite par une jeune femme, arrivant de Saint-Berain-sous-Sanvignes, dans la rue du même nom.
Le choc a été très violent, le scooter étant projeté à une dizaine de mètres du lieu de l'impact. Sa pilote a aussi été projetée assez loin, de l'autre côté de la rue, après avoir heurté le pare-brise de la 207. Se plaignant de douleurs violentes au dos et au bassin, elle a été conduite à l'hôpital Jean-Bouveri de Montceau par les pompiers, au nombre d'une dizaine, dirigés par l'adjudant-chef Michel Meunier. La conductrice de la voiture, extrêmement choquée, a également été menée à l'hôpital.
C'est à cet endroit que les policiers du commissariat de Montceau, chargés de l'enquête, feront les prélèvements d'usage (alcoolémie et stupéfiants) pour tous les accidents corporels.
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Calimero - DiCCtateur
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Un autre fait divers, moins grave
Conduite sportive, sans permis
Audincourt - 30 janvier 2012 - Le Pays
Vers 5 h 30, hier matin, une patrouille de police en faction dans une rue d’Audincourt a vu soudain une 207 Peugeot griller un « stop » et faire un tête-à-queue dans un carrefour au moyen du frein à main, à la manière des pilotes de rallye. La voiture a été prise en chasse et sommée de s’arrêter. Le conducteur a obtempéré sans faire de difficulté dans la rue de Belfort. Il n’a pas été en mesure de présenter son permis de conduire et a donné un faux nom.
Ramené au commissariat, il s’est expliqué sur son comportement erratique : c’est parce qu’il n’a pas le permis de conduire, qu’il a donné le nom d’un copain qui, lui, est titulaire du document administratif. Il a affirmé également que son tête-à-queue sportif était dû au fait qu’il avait stoppé brutalement la voiture quand il s’était aperçu qu’il avait omis de s’arrêter au « Stop ». Âgé de 19 ans, domicilié à Valentigney, il s’expliquera le 15 mars prochain devant le tribunal correctionnel de Montbéliard.

Conduite sportive, sans permis
Audincourt - 30 janvier 2012 - Le Pays
Vers 5 h 30, hier matin, une patrouille de police en faction dans une rue d’Audincourt a vu soudain une 207 Peugeot griller un « stop » et faire un tête-à-queue dans un carrefour au moyen du frein à main, à la manière des pilotes de rallye. La voiture a été prise en chasse et sommée de s’arrêter. Le conducteur a obtempéré sans faire de difficulté dans la rue de Belfort. Il n’a pas été en mesure de présenter son permis de conduire et a donné un faux nom.
Ramené au commissariat, il s’est expliqué sur son comportement erratique : c’est parce qu’il n’a pas le permis de conduire, qu’il a donné le nom d’un copain qui, lui, est titulaire du document administratif. Il a affirmé également que son tête-à-queue sportif était dû au fait qu’il avait stoppé brutalement la voiture quand il s’était aperçu qu’il avait omis de s’arrêter au « Stop ». Âgé de 19 ans, domicilié à Valentigney, il s’expliquera le 15 mars prochain devant le tribunal correctionnel de Montbéliard.
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Calimero - DiCCtateur
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l'excuse du stop pour le frein a main, cest comme dire a un gendarme, pourquoi vous avez un couteau dans votre poche, euh, monsieur cest pour couper le saucisson a midi 

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matthieu_31 - Lionceau
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"les meilleurs choses dans la vie ne sont pas les choses que l'ont possedes mais celles qui nous possedent"
"PAS D'ABS PAS D'AIRBAG JE MEURS EN HOMME"
vive ma gtt ,c'est ici
http://www.feline207.net/forum/viewtopic.php?t=19615
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apofice - Féline 207 Addict
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Eric12 - Flood Addict
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Calimero a écrit:Nico a fait une sortie de route![]()

il manque le becquet ou bien il a du partir avec la vitesse.
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west_indies - Modérateur
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laurent-31 - Accro du lion
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Reims (Marne) - samedi 18 février 2012 - L'Union
Il égorge sa femme et se pend
REIMS (Marne). Hier soir, un Rémois a égorgé sa compagne avant de se pendre dans leur appartement du quartier Neufchâtel. Une séparation est à l'origine du drame.
Ils donnaient l'impression d'un couple harmonieux auprès des voisins. Leur relation s'est pourtant terminée en tragédie.
Elle, 46 ans, a été retrouvée face contre terre dans le salon, de nombreuses plaies saignantes au cou. Lui, 52 ans, était pendu dans la même pièce.
Le drame s'est déroulé à huis clos au rez-de-chaussée d'un immeuble propret de la rue Georges-Charbonneaux, dans le quartier Neufchâtel à Reims.
Hier vers 18 heures, venu voir le couple, un proche a sonné en vain à la porte. La locataire, Catherine Drouillet, était pourtant là car sa Peugeot 207 rouge était garée près de l'entrée de l'immeuble.
Découverts par un proche
Le visiteur a fait le tour et a regardé dans le salon, par le balcon. Il a vu le corps de la dame allongé à même le sol. Les pompiers ont été prévenus mais le témoin, sans attendre, a pris un marteau pour casser le carreau. Il est entré et a découvert l'étendue du drame.
En état de choc à l'arrivée des secours, le jeune homme a dû être évacué sur le centre hospitalier tandis que le décès des deux victimes ne pouvait être que constaté à l'intérieur de l'appartement.
Une arme blanche aurait été retrouvée à proximité des corps. « Il s'agit d'un drame familial. La dame a été égorgée, puis son conjoint s'est pendu », a confirmé Georges Latève, magistrat de permanence au parquet de Reims. Le couple, qui n'était pas marié, était sur le point de se séparer, une rupture que n'acceptait pas le conjoint de Catherine Drouillet (nous n'avions pas eu confirmation de son identité à l'heure où nous écrivions ces lignes).
Un couple sans histoire
Vers 12 h 30, des voisins ont entendu une dispute, des éclats de voix, mais sans violence particulière, « une dispute raisonnable » précise le parquet. Il s'agit du dernier signe de vie dans l'appartement. Le drame s'est-il produit juste après cette altercation, ou plus tard dans la journée ? L'autopsie permettra peut-être de répondre à cette question. Catherine Drouillet travaillait dans un magasin hard-discount, son conjoint n'avait apparemment pas d'activité professionnelle, si ce n'est s'occuper de son potager. Domiciliés depuis quatre ou cinq ans rue Georges-Charbonneaux, ils n'avaient jamais fait parler d'eux auparavant. Aucun différend signalé aux services de police, aucun problème remarqué par le voisinage.
« Je n'en reviens pas. C'était des gens sympathiques, pas d'histoire chez eux, rien du tout » confirme un locataire tandis qu'une autre personne se souvient d'un homme manifestement très attaché à sa compagne : « Quand il partait, il la regardait par la fenêtre et lui envoyait des baisers. »
Il égorge sa femme et se pend

REIMS (Marne). Hier soir, un Rémois a égorgé sa compagne avant de se pendre dans leur appartement du quartier Neufchâtel. Une séparation est à l'origine du drame.
Ils donnaient l'impression d'un couple harmonieux auprès des voisins. Leur relation s'est pourtant terminée en tragédie.
Elle, 46 ans, a été retrouvée face contre terre dans le salon, de nombreuses plaies saignantes au cou. Lui, 52 ans, était pendu dans la même pièce.
Le drame s'est déroulé à huis clos au rez-de-chaussée d'un immeuble propret de la rue Georges-Charbonneaux, dans le quartier Neufchâtel à Reims.
Hier vers 18 heures, venu voir le couple, un proche a sonné en vain à la porte. La locataire, Catherine Drouillet, était pourtant là car sa Peugeot 207 rouge était garée près de l'entrée de l'immeuble.
Découverts par un proche
Le visiteur a fait le tour et a regardé dans le salon, par le balcon. Il a vu le corps de la dame allongé à même le sol. Les pompiers ont été prévenus mais le témoin, sans attendre, a pris un marteau pour casser le carreau. Il est entré et a découvert l'étendue du drame.
En état de choc à l'arrivée des secours, le jeune homme a dû être évacué sur le centre hospitalier tandis que le décès des deux victimes ne pouvait être que constaté à l'intérieur de l'appartement.
Une arme blanche aurait été retrouvée à proximité des corps. « Il s'agit d'un drame familial. La dame a été égorgée, puis son conjoint s'est pendu », a confirmé Georges Latève, magistrat de permanence au parquet de Reims. Le couple, qui n'était pas marié, était sur le point de se séparer, une rupture que n'acceptait pas le conjoint de Catherine Drouillet (nous n'avions pas eu confirmation de son identité à l'heure où nous écrivions ces lignes).
Un couple sans histoire
Vers 12 h 30, des voisins ont entendu une dispute, des éclats de voix, mais sans violence particulière, « une dispute raisonnable » précise le parquet. Il s'agit du dernier signe de vie dans l'appartement. Le drame s'est-il produit juste après cette altercation, ou plus tard dans la journée ? L'autopsie permettra peut-être de répondre à cette question. Catherine Drouillet travaillait dans un magasin hard-discount, son conjoint n'avait apparemment pas d'activité professionnelle, si ce n'est s'occuper de son potager. Domiciliés depuis quatre ou cinq ans rue Georges-Charbonneaux, ils n'avaient jamais fait parler d'eux auparavant. Aucun différend signalé aux services de police, aucun problème remarqué par le voisinage.
« Je n'en reviens pas. C'était des gens sympathiques, pas d'histoire chez eux, rien du tout » confirme un locataire tandis qu'une autre personne se souvient d'un homme manifestement très attaché à sa compagne : « Quand il partait, il la regardait par la fenêtre et lui envoyait des baisers. »
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Calimero - DiCCtateur
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un homme de 27 ans roulait en peugeot 207 a dévié de sa route et a eu un face a face avec une citroen c5 qui était conduite par deux personnes agées
bilan: 2 blessés (c5) et un mort (207)
la cause: vitesse et alcool
lieu: auffay (seine maritime)
bilan: 2 blessés (c5) et un mort (207)
la cause: vitesse et alcool
lieu: auffay (seine maritime)
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benji76 - Féline 207 Addict
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